Fondation NSM Vie
 

Salon Paris Photo 2002


Visite du salon Paris-Photo avec la commision d'achat de la banque NSM Vie pour la MEP

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Visite du salon Paris-Photo avec la commision d'achat de la banque NSMVie pour la MEP

La commission d'achat de la Fondation NSMVie s'est réunie au salon Paris-Photo afin d'enrichir la collection de photographies de la Maison Européenne de la Photographie. Institution et entreprise s'associent ici pour l'aide et la valorisation de la création contemporaine.
Le choix des nouvelles acquisitions a été confié à des représentants de la Fondation NSMVie et de la MEP accompagnés de deux conseillers extérieurs.
Eclectique , leur choix exprime la diversité de la création actuelle tout en se posant sur la jeune génération.
La photographie plasticienne de la jeune néerlandaise Elspeth Diedrix, à la galerie Diana Stiger, a séduit la commission qui a retenu "Still Life Milk", composition d'objets du quotidien dont l'équilibre est celui d'un langage poétique et secret.
Toujours chez les galeries néerlandaises invitées d'honneur du salon Paris Photo cette année, la commission a retenu une oeuvre de Risk Hazenkamp, jeune artiste qui se met en scène dans des décors empruntés à la publicité et au cinéma hollywoodien, jouant avec le caractère androgyne de son physique.
Sada Tangara, d'origine malienne, photographie des gens vivant dans la rue à Dakar. Suite à son exposition à la MEP, plusieurs de ses photographies ont été acquises. Ses clichés, en couleur, d'une forte puissance émotionnelle, témoignent d'une vie de misère, dont il a fait lui-même l'expérience. Le produit de la vente de ses oeuvres est versé à une association qui vient en aide à ces enfants des rues.
Sadek Tirafkan, artiste iranien représenté par la galerie Vu, établit de subtiles correspondances entre le corps de la lettre et celui de l'artiste, entre la tradition de la calligraphie arabe et les gestes qui inscrivent l'identité dans le temps. C'est la première fois que les oeuvres de cet artiste atypique sont présentées en France.
Les membres de la commission se sont ensuite arrêtés sur les autoportraits de Kimiko Yoshida, exposés à la galerie Rabouan-Moussion, lèvent le voile sur le visage maquillé d'une princesse japonaise qui apparaît et disparaît dans le fond monochrome de la photographie. La commission a retenu deux oeuvres, une pour la MEP et une pour la Fondation NSMVie.